35. Triacastela – Ferreiros

35e étape. 06/10.
32km.

Départ de Triacastela à 8h.

Le parcours est plutôt valloné, mais de toute manière avec le brouillard on ne peut pas trop se rendre compte du paysage.
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Depuis la montée à O Cebreiro, on est dans un pays de mini villages à l’odeur caractéristique de l’élevage bovin, même si les vaches ont rarement de si belles cornes.
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Quelques averses fortes mais courtes, et le brouillard se dissipe. On entrevoit la ville de Sarria d’assez loin.
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À l’entrée de Sarria, une charrette avec une forme de roues qui à l’air généralisée dans la région puisqu’on en voit régulièrement, réutilisées comme décoration.
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La traversée de Sarria est loin d’être linéaire, ça fait des détours par des quartiers peu intéressants, histoire de passer devant chacune des albergues (bien plus d’une dizaine…). Ça monte fort.
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Mais on ressort brutalement sans avoir rien passé qui ressemble à un centre-ville, donc pas vraiment de restaurants ou de bar, tant pis, on verra dans les prochains villages.

Ancien pont à la sortie de Sarria.
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70km en sandales (depuis Villafranca), ça commence à faire mal au pied, et il ne devrait plus y avoir de pluie importante dans l’après-midi donc je remets les chaussures de rando, au moins les points où elles m’ont fait des ampoules ont pu se reposer pendant 3 jours.

Les parcelles sont entourées de murs de pierres sèches.
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En fait les greniers qu’on voit le plus souvent ne sont pas en bois et paille mais en béton et briques.
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La borne 100km. C’est à partir d’ici que ça compte vraiment pour obtenir la compostela et donc qu’il y a des « pèlerins » d’un autre genre.
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Arrivée à Ferreiros (km 98) à 16h30.

Hébergement à l’albergue de la Xunta de Galicia, et en arrivant à cette heure là je retrouve un couple de Barcelonais avec qui j’avais dîné à Foncebadón. Et étonnamment à cette heure on est les 3 premiers dans l’albergue.

L’albergue est au milieu de nulle part, donc rien à visiter à part le bar voisin qui est bienvenu pour dîner.