Dix-septième étape.
21km.
Départ de Nájera vers 7h30.
Petit déjeuner rapide dans un bar, au bord du chemin il y en a toujours quelques uns qui ouvrent à 7h ou même avant.
Premier village: Azofra. On est toujours dans les vignes, mais ici il y a beaucoup de canaux et rigoles d’irrigation.
Un peu plus tard on quitte les vignes pour se retrouver au milieu des champs, mais il y a toujours les montagnes à l’horizon.
Un peu avant Cirueña on tombe sur un golf, ouvert, et un lotissement de dizaines de bâtiments neufs au milieu de nulle part. Sauf qu’à part un ou deux appartements, tout est fermé, pas une trace de vie dans ces centaines de logements et des panneaux « se vende » sur au moins la moitié. Quel gaspillage…
Après Cirueña, toujours au milieu des champs, sous le soleil mais ça reste supportable. Par contre plus un seul arbre ni une haie, donc plus de fruits à glaner…
Arrivée à Santo Domingo vers 12h30. Apparemment c’est un pays de culture de patates.
Logement à l’albergue de la Cofradía de Santo Domingo, qui entretient la mémoire du saint, spécialisé en ponts et chaussées comme son nom l’indique. Ils s’occupent aussi des poules exposées dans la Cathédrale, donc il y a un poulailler dans le jardin de l’albergue.